Ce n’est toujours pas du thé que je savoure aujourd’hui dans le cadre de ma collection inspirée des arts de la table, mais de l’eau claire – d’abord parce qu’il a fait très chaud par chez moi ces jours-ci, et puis aussi pour contrebalancer les excès du mois dernier 😉
Mon eau claire est dans un pot d’étain. Difficile de rendre le lustre légèrement étouffé de ce beau métal. J’ai choisi ce que l’on appelle “bambou carbonisé” : la couleur de ces fibres de viscose issue du bambou est obtenue par le procédé de fabrication et non pas par teinture. C’est une fibre spéciale, un peu crissante, un peu glissante, que je ne mettrais pas dans toutes les mains, mais elle est très douce et offre un beau tomber.
Une fibre à ne pas mettre entre toutes les mains!!
Je suis bien d’accord; pourtant la novice que je suis est tombée sur cette fibre, il y a quelque temps en cherchant du noir.
J’en ai bien sûr filé une partie, mais je n’ai pas réussi à obtenir un fil aussi régulier que toi!
Ceci étant, je suis de ton avis, Marie: beau tombé et grande douceur.
Très jolie présentation, ton fil est superbe. En plus le bambou n’est pas facile à filer quand on veut faire bien régulier ^^
C’est une très belle nature morte que tu nous montres là.
Tu m’intrigues avec ce fil que tu ne mettrais pas entre toutes les mains ….
Merci, c’est en effet sur le principe de la nature morte que j’ai décidé de travailler pour cette collection, j’y prends beaucoup de plaisir 😊 Et la grenade est un vrai symbole dans ce domaine…
Je n’ai pas dit que le fil était à mettre entre toutes les mains, je parle en fait de la fibre. Lors du filage, elle apporte des sensations très particulières comparé à la laine, bien sûr, mais aussi au coton ou à la soie…