Voilà un long moment que je ne vous ai pas raconté mes aventures créatives ! Il faut dire que j’ai beaucoup travaillé, beaucoup cuisiné, beaucoup un tas de choses, et puis j’ai fait plein de petites bidouilles de couture, notamment pour ma cuisine. Parfois, je suis pleine d’inspiration pour inventer des aménagements pratiques. Alors, pour ne pas vous laisser croire (avec horreur !) que ce blog est en sommeil et que j’ai perdu tous mes doigts, je vous les montre… mes bidouilles de couture, bien sûr, pas mes doigts.
Deux petits sacs en sashiko
Ils sont en jean (récup’, bien sûr), ornés de motifs sashiko (sinon on s’embête) tout simples (ça va plus vite), et garnis de gravier. À quoi servent-ils ? À entrebâiller des appareils électroménagers pour éviter les mauvaises odeurs !
Le poids de ce berlingot a été calculé au plus juste pour maintenir la mijoteuse entrouverte, mais attention – c’est très technique ! – elle sera plus ou moins ouverte selon l’endroit où on dispose le berlingot…Un petit coussin tout simple pour que le lave-vaisselle reste entrebâillé.
Un sac à suspendre
Là encore réalisé dans des chutes de tissu (j’en ai tellement !), un sac suspendu au frigo (à l’aide d’un crochet aimanté) pour ranger les capsules de lave-vaisselle (pas de panique, il n’y a pas d’enfants à la maison, et il est suspendu relativement haut). C’est un patron signé Swan Family.
Première tentative : décidément, ça bâille trop…Après avoir passé et resserré un fil de sashiko (ils sont robustes et j’avais juste la bonne couleur !) le long de l’ouverture – une affaire de dix minutes – c’est bien plus joli !
Une housse à germoir
Oh que je les aime, les pousses de soja ! Mais mon maraîcher n’en vend jamais, car cela se garde mal. Du coup… Oh que je l’aime, mon petit germoir en céramique !
Il a juste la bonne taille pour faire germer ma dose de pousses… Mais il est conseillé de les faire germer dans l’obscurité pour qu’elles ne développent pas un goût amer. Du coup, une housse vite faite ! Mais quand même brodée d’un kamon (blason) japonais chipé sur le Web.Non seulement il est joli mais, quand on ne s’en sert pas, il se transforme en étagère à épices !
Que ce soit votre tricot en cours, un bouquin et une gourde pour aller buller au parc, un paquet de cahiers ou votre fuseau et vos rolags à filer, vous leur trouverez de la place dans ces nouveaux sacs réalisés à partir d’un panneau de feutre artisanal, avec une licence Sacôtin.
Des créations de la marque de patrons de sacs Sacôtin, je vous en ai montré quelques-unes récemment, tout simplement parce que je me suis vraiment laissé prendre au jeu : à chaque fois que j’en ai cousu un, c’était une petite découverte, j’apprenais de nouvelles techniques et même si, de temps en temps, je m’arrachais les cheveux (pas parce que le patron n’était pas clair mais parce que j’avais lu de travers ou que j’avais voulu aller trop vite), le résultat complètement final (après les décousages et recoutures…) était au rendez-vous. Notamment la trousse de toilette cousue pour ma fille qu’elle trouvait un peu trop sophistiquée (“Je n’ai pas vraiment besoin de tant de poches…”) et qui finalement s’est avérée parfaite (“Maman, elle est super, j’ai utilisé toutes les poches !”).
Comme la créatrice, Véro Pinson, a mis au point un système de licence très simple qui permet de coudre et vendre ses modèles en respectant sa propriété intellectuelle, j’ai décidé d’utiliser quatre panneaux de feutre artistiques que j’avais réalisés il y a quelque temps et de les inclure dans des sacs besaces simples et pratiques.
Ils sont fermés par une fermeture à glissière séparable, et il y a encore une petite pochette zippée à l’intérieur, avec mon étiquette et l’étiquette Sacôtin (plus de photos dans la boutique !). Pour mettre en valeur le feutre, le reste est noir : jean dehors pour la solidité, coton dedans, et sangle en coton tressé bien solide pour le porter en bandoulière ou à l’épaule. Faites-vous plaisir !
Voilà quelques jours que je vous dévoile les nouveautés que j’ai créées pour la Fête de la Laine de Malakoff, et voici les… avant-dernières. Les dernières, je n’ai pas eu le temps de les photographier donc, si vous avez envie de les découvrir, il va falloir vous déplacer ! Ou patienter pour retrouver en boutique celles qui n’auront pas déclenché le coup de cœur. Petit indice : ce sont des sacs à ouvrage…
J’ai ressenti une grosse montée d’inspiration au début de l’hiver, pendant un séjour dans le Cotentin. Sur les bons conseils de notre logeuse, nous avions quitté notre gîte à potron-minet pour aller faire quelques emplettes gourmandes à la fantastique biscuiterie de Quinéville. En décembre, au début de la matinée, quand il fait beau, le soleil inonde cette route longeant la mer avec une sorte de précaution qui donne à chaque chose une nuance délicate. Il n’en fallait pas plus pour inventer une collection de fils. Ils seront là, dès samedi matin, à Malakoff. Une affaire d’environ 350 km… Ça, c’était le chemin de l’inspiration. Les écheveaux, eux, ont été réalisés en région parisienne avec des teintures Oeko-Tex 😉
Cette année, vraiment, il m’en fallait, de la couleur, que dis-je ! DES couleurs. TOUTES les couleurs.
Les avalanches de mauvaises nouvelles, cette persistance guerrière incroyable (pas dans le sens où incroyable = extraordinaire = génial, hein ? dans le sens où incroyable = j’ai du mal à croire que cela soit encore possible) en de multiples points de la planète, une angoisse croissante sur notre capacité à nous assurer le minimum vital au moment où la politique et l’écologie craquent de toutes parts : je ne sais pas comment cette année a débuté pour vous, mais pour ma part, je subis des tonnes d’angoisses anxiogènes dès que je glisse un œil hors de chez moi au propre comme au figuré – en fait surtout au figuré car, au propre, mes horaires de vie bizarres font que je croise peu de monde. Je sais, depuis 2020, ne croiser personne quand on sort, c’est aussi très inquiétant.
Bref, une fois que j’ai reçu la confirmation que ma participation à la Fête de la Laine de Malakoff – où j’ai passé de si bons moments au cours des années passées – était acceptée, mon cerveau a commencé à tourner non pas en rond, mais en multiples spirales imbriquées les unes dans les autres, quelque chose de dingue. Je suis une femme de spirale, vous l’ai-je déjà dit ? D’où ma fascination pour le travail du fil, qui est une spirale infinie, un ressenti que j’ai découvert par le passé avec le tournage.
Cette année, les organisateurs de la Fête de la Laine ont spécifiquement demandé que les exposants s’engagent pour la planète. En résumé, il fallait surtout s’assurer que notre laine vienne d’élevages respectant le bien-être animal (dans le cas de la laine, surtout, ne pratiquant pas le mulesing) et, en matière de teinture, s’engager à ne pas utiliser de produits contenant des métaux lourds.
Pour ma part, j’avais déjà fait la démarche sur le bien-être animal à la demande de certains de mes clients, et c’était le moment de s’intéresser plus précisément à la planète. Cela n’a pas été si simple que cela. Concernant les sites sur lesquels j’achète ma laine déjà teinte, ouf ! ils étaient déjà fiers de communiquer sur le fait que leurs teintures étaient labellisées Oeko-Tex (DHG et Wolllust).
Pour les teintures, en revanche, cela n’a pas été si facile. Pour celles que j’utilise le plus souvent, notamment – mes chères Dupont –, j’ai déjà eu du mal à tout simplement trouver le fabricant ! qui était en Belgique… à le joindre et obtenir sa réponse… et je le remercie de sa transparence, puisqu’il m’a fait parvenir des documents que j’ai pu soumettre à ma chimiste de service. Bilan : pas de métaux lourds. Quel poids soulevé de ma poitrine ! (Bien qu’il reste une petite culpabilité car, il ne fallait pas me voiler la face, j’aurais en fait dû m’occuper de cela bien plus tôt.)
Bref, quand j’ai reçu cette bonne nouvelle, je me suis précipitée dans ma cuisine (eh oui, on n’a pas tous l’espace disponible pour un atelier teinture), pleine d’envies de couleurs… d’arcs-en-ciel… et voilà ! J’ai encore, cette année, une belle collection d’écheveaux “Fractals” à présenter à la Fête de la Laine. Si vous ne pouvez pas nous rejoindre ce week-end à Malakoff, retrouvez-les en boutique !
C’est samedi et j’ai hâte de vous revoir toutes et tous, car j’ai plein de nouveautés à vous montrer, à commencer par une collection ludique : les écheveaux “Confet’Tweed”, entre le mélange de confettis et l’effet tweedé. Ils sont bien ronds et moelleux car ils contiennent 50 % d’alpaga blanc, cardé avec une fine laine mérinos et des petits bouts de fils recyclés.
Si vous souhaitez venir les papouiller à la Fête de la Laine ce week-end, tous les détails sont sur le site de l’événement.
Si vous ne pouvez pas venir mais que l’un d’eux vous fait envie, vous pouvez les retrouver en boutique.
Et si vous avez envie d’en confectionner un vous-même, suivez ce petit pas-à-pas en photos !
Comment créer un écheveau de fil tweedé avec des morceaux de fil recyclé
Sélectionnez vos matériaux, ici : 50 g d’alpaga blanc, 50 g de mérinos DHG vert tendre, et les chutes de la chaîne d’un de mes tissages “Chevronnées”.Partagez tout en deux pour réaliser deux nappes identiques.Coupez les morceaux de fil en morceaux de tailles différentes, entre 2 et 5 cm.Coupez les deux mèches de laine en quatre. Déposez une fine couche de mérinos sur le plateau de votre cardeuse, et saupoudrez-la avec le quart des morceaux de fil.Recouvrez-les avec le reste du morceau de mérinos. Ensuite, faites tourner la cardeuse très lentement jusqu’à ce qu’elle ait “mangé” toutes les fibres. Donnez-lui un quart de l’alpaga, puis un nouveau “sandwich” de mérinos et de morceaux de fils. Continuez d’alterner les couches.Ôtez la nappe de votre cardeuse en récupérant les fils restés coincés entre les dents avec votre brosse de nettoyage. Vous allez à nouveau en carder, très lentement, des poignées pas trop épaisses. En tout, vous allez passer vos fibres dans la cardeuse 3 fois.Une fois votre nappe terminée, utilisez l’autre moitié des fibres pour en faire une deuxième.Déchirez la nappe en bandes plus simples à filer et filez les deux nappes sur deux bobines différentes. Si vous avez l’impression que certains fils ne sont pas bien pris dans la spirale, remettez une très fine couche de fibres par-dessus pour bien les arrimer.Vous n’avez plus qu’à retordre vos deux brins dans le sens contraire du filage et à bloquer l’écheveau !
Au réveillon de Noël, ma fille a admiré la pochette “Complice” que j’avais réalisée pour ma nièce, et ce fut l’occasion pour moi de m’extasier sur ma découverte des modèles Sacôtin… Ni une, ni deux, elle m’a demandé une trousse de toilette, et elle ne pouvait pas me faire plus plaisir !! J’ai choisi la “Fringante” et j’ai beaucoup apprécié la construction originale permettant de la retourner facilement tout en réalisant des finitions intérieures impeccables. Encore une fois, je me suis régalée avec les explications claires comme de l’eau de roche de Véro Pinson, et ma fille est ravie du résultat.
J’ai utilisé un coupon japonais avec de beaux tigres, ce qui convient très bien au caractère de mon aînée ;-)… et pour le reste, des chutes tirées de mes tiroirs. J’ai imperméabilisé le tout avec de l’Odicoat. Le résultat n’est pas top sur le lin qui n’est pas fait pour ça (ça laisse des traces) mais sur le coton, c’est impeccable.Mes premières poches en “plastique” (le “Cristal” inclus dans le kit pour la Fringante fourni par la Mercerie des créateurs). Pratique pour repérer facilement les petits objets genre pince à épiler…Début du montage…Plutôt que d’utiliser de la sangle, j’ai réalisé l’anse avec des chutes de tissu.Cette trousse ne manque vraiment pas de poches !L’intérieur
L’hier est loin d’être fini ! Si vous cherchez un peu de chaleur, faites un tour en boutique 😉
Enfin, un petit moment de répit qui tombait pile le même jour que le premier rayon de soleil depuis des lustres. Il n’en faut pas moins pour que je puisse organiser une mini-séance photo qui permette de rendre à peu près fidèlement les coloris de mes créations…
En l’occurrence, j’ai beaucoup tissé à l’automne pour garnir de belles choses mon stand du marché de Noël de Vanves. Mais ce week-end-là, il faisait un froid glacial ! Conséquence : une grande partie de ces nouvelles écharpes sont reparties au cou de l’une ou de l’autre. Il me restait toutefois quatre nouveautés à vous montrer.
D’abord, une nouvelle collection en collaboration avec l’artiste fileuse et dentellière Midian, qui n’a pas son pareil pour carder des nappes magnifiquement dégradées. C’est avec elle que j’ai commencé ma collection “Précieuses” en 2014 et que je l’ai poursuivie en 2017. Et il y en aura d’autres, rassurez-vous ! Elles ont beaucoup de succès et il m’en reste d’ailleurs très peu. Pour Noël dernier, Midian et moi nous sommes lancées dans une nouvelle collection, les “Chevronnées”, tissées avec une armure de chevrons (motif que j’adore !) qui met bien en valeur le contraste entre le fil dégradé de la chaîne et le fil d’alpaga très doux de la trame. Il m’en reste deux que je viens de mettre en vente dans la boutique en ligne.
Mais eu égard à la conjoncture de la fin de l’année 2022, qui n’était ni gaie ni chaleureuse, j’ai voulu créer aussi des étoles fantaisies colorées, larges et moelleuses, ce genre d’étole qui vous prend dans ses bras, dans laquelle on peut s’envelopper le haut du corps pour se blottir dans son canapé avec un bon bouquin et une tasse de thé. Ou de café. Ou de chocolat. Enfin, tout ce qu’il nous faut pour un moment hygge ! Je vous présente donc “Printemps d’Aphrodite” et “Ode à la Traviata”.
Étole “Printemps d’Aphrodite”Étole “Ode à la Traviata”
Plus ça va, moins j’achète de produits tout faits. Je suis trop déçue par leur tenue dans le temps, et je ne suis pas du genre à changer ma déco tous les six mois. Il y a quelques années, j’ai craqué pour des housses de coussin en lin dans un magasin parisien genre concept-store, une mine de belles choses et de tentations, parce que j’avais adoré les couleurs. Voici le résultat aujourd’hui : elles ont été fabriquées avec un lin si fin qu’il n’a tout simplement pas supporté que nous nous y adossions ! Un comble ! Voici des mois qu’elles partent en lambeaux.
Des housses payées cher mais vite parties en lambeaux… on ne m’y reprendra plus !
J’ai décidé de les remplacer et de les faire moi-même, cette fois-ci, car mes tiroirs regorgent de chutes de lin d’excellente qualité, bien épais (que j’achète sur le site Linoulautre), avec lequel je fais mes vêtements et je refais, petit à petit, tout mon linge de maison. Les quatre coloris que j’ai choisis sont respectivement des chutes d’un pantalon, d’une veste, de sets de table et de serviettes de table.
Je les ai agrémentées de broderies sashiko (matériel et modèles proviennent de ma chère boutique Sahiko-ya, où j’ai appris les techniques du sashiko et du boro). J’ai peiné sur le poisson (d’autant que le motif, tracé avec du carbone de brodeuse blanc, avait tendance à s’effacer au fur et à mesure des manipulation), vraiment, je préfère les motifs géométriques.
Le motif asanoha (feuille de chanvre) est long à tracer…… mais agréable à broder, et il rend tellement bien !Pour le poisson, ce fut une autre paire de manches, mais le résultat n’est pas mal au final.
Puisque j’étais partie sur du durable, j’ai décidé de les fermer avec une fermeture à glissière et non un simple rabat façon oreiller comme les housses que j’avais achetées (là encore, le fabricant est allé au moins cher, et pourtant je les avais payées un bon prix, ces housses ! quelle arnaque !). Pour que la tirette ne vienne pas égratigner encore davantage notre canapé en cuir qui a bien vécu (merci les chats), j’ai posé une fermeture protégée par un rabat. J’ai trouvé les explications sur le blog “Les lubies de Louise”. Ce n’est pas compliqué !
La fermeture à glissière est cachée sous un rabat.
Les coussins de garnissage, je les ai choisis il y a des années munis d’une fermeture à glissière, eux aussi, donc j’ai profité de ce rafraîchissement pour rajouter un peu de rembourrage dedans. Maintenant qu’ils sont bien gonflés et que les housses sont maintenues bien tendues par les fermetures, ils sont aussi confortables que pimpants. Et je n’ai plus honte quand j’ai un invité ou une stagiaire (avant, je les cachais, pour tout vous avouer, mais quoi de plus triste qu’un canapé tout nu !)…
Le motif shippo (sept trésors) est un des plus faciles à broder et à dessiner.Pour le motif de libellules, j’ai fait confiance à mon inspiration mais c’est un peu vide. Je ne m’interdis pas d’intervenir à nouveau.
Noël est passé, on peut montrer nos créations sans risquer de ruiner la surprise !
Ma nièce a apprécié la pochette que je lui ai offerte, mais j’ai moi-même pris un plaisir infini à la réaliser. Il faut dire que depuis que j’ai cousu la sacoche “50 nuances de bronze” pour mon petit mari, je suis littéralement amoureuse des modèles Sacôtin. En plus j’adore faire des sacs… Et comme j’avais très envie de tester la pochette “Complice”, eh bien… ma nièce s’est retrouvée avec une pochette pour Noël, la pauvre 😉
Les deux tissus bleus que j’ai utilisés viennent de chez Jinh, qui est ma caverne d’Ali Baba en matière de tissus japonais, et pour les accessoires type entoilage, Velcro, bouclerie et fermeture, je ne me suis pas fatiguée, j’ai acheté le kit tout prêt de la Mercerie des créateurs. Et j’ai trouvé un joli ruban scintillant chez ma mercière pour l’anse qui transforme ce portefeuille en sac minimaliste. Comme d’habitude, tout était très, très bien expliqué, merci Véro ! Et j’aime travailler ce genre de petite choses avec plein de pièces et de détails. En plus, pour bien réussir les porte-cartes, il y avait carrément des tutos en vidéo. J’ai enfin eu l’occasion de me servir du pied no 5 de ma machine pour autre chose que les ourlets invisibles : il est parfait pour faire des surpiqûres bien nettes. Je ne pourrais plus m’en passer !
Cette année, le marché de Noël de Vanves se tiendra du vendredi 9 décembre à 15 h au dimanche 11 décembre à 18 h. Vous y trouverez des producteurs de terroir venus des quatre coins de France, ainsi que les exposants de L’Archipel des créateurs, dont j’aurai encore une fois le plaisir et l’honneur de faire partie. Rendez-vous donc ce week-end sur la jolie place de la République de Vanves !