C’est le nom de ce pull très ajouré signé Norah Gaughan. J’ai adoré tricoter son “Sous Sous” (vous pouvez aussi le voir sur Ravelry) et dès que je l’ai eu terminé, je n’ai eu qu’une envie, en commencer tout de suite un autre !
L’été approchait, aussi j’ai choisi ce modèle ajouré, “Burkina”, pour lequel j’ai cardé ensemble du coton et de la ramie avant de les filer et de les retordre à trois brins (navajo). Le fil est lourd, avec un beau tombé ; il est doux, brillant et frais : juste parfait pour moi qui ai toujours trop chaud…
Le tricotage du pull m’a pris beaucoup moins de temps que celui du Sous Sous et si je l’ai trouvé un peu répétitif (on fait quatre fois la même chose…) j’avoue que je me suis quand même bien amusée. Et donc, vous l’avez deviné… je commence à chercher quel sera mon prochain pull de Norah Gaughan (abandonnant cruellement le reste de la famille au froid ! mais après tout, chacun son tour ;-).
Beau fil, ouvrage original bien reproduit – brle style du modèle est superbe et en y ajoutant le rendu magnifique de ton fil… je ne trouve plus d’adjectif pour qualifier cette réalisation : sublime et encore le côté tactile n’est pas entré en jeu ;-)avo –
Beau fil, ouvrage original bien reproduit – bravo –
C’est somptueux mais comme tu ne sais pas faire de choses laides, ça ne m’étonne guère ! 😉
Mais ! et mes chevilles ! tu y penses, à mes chevilles ?? 😀
Merci ma grande…
C’est vraiment magnifique…j’aimerais savoir faire une telle pièce un jour. Super travail!
Intéressant, ton « treillis » d’été, juste aéré ce qu’il faut, et certainement tombé à pic ! Tu m’as fait découvrir les modèles de cette tricoteuse de génie, je t’en suis très reconnaissante, j’adore ce qu’elle fabrique.
J’adore ce style ce pull est super joli.
Super original ce modèle, je suis assez d’accord avec Ama je ne t’ai jamais vu faire des choses laides…. 😉
quel magnifique travail !!!! Bravo !!! Superbe !
Quelle légèreté ! On dirait qu’il est crocheté à la fourche. Mais non, tu sembles avoir une autre technique …
Il est tout simplement tricoté aux aiguilles, mais à certains endroits on fait – volontairement ! – “tomber” des mailles…